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La Baston Compagnie a été créée à Toulouse en 2016, suite à la rencontre entre

Elouan Hardy, comédien et Agathe Pitarch, accordéoniste.


Ensemble, ils nourissent et écrivent le projet «Dédé», marqué par un univers noir, humain et sauvage.
Le récit est le pilier de la compagnie.

La parole est utilisée comme un facteur d’intime, pour se sentir le plus familier possible avec celui qui parle,

comme on écoute un ami à la fin d’un repas.


La «Baston Cie», parce que certaines histoires sont comme
des upercutes, des vies hargneuses qui nous mettent K.O
quand leur propres héros te les glissent à l’oreille.

Des héros de ruelles, de trottoirs...

ELOUAN découvre la scène en participant aux
spectacles équestres du Haras national de
Lamballe.

Il laisse le monde du cheval pour celui
du théâtre et écrit son premier spectacle «Luna».


En 2013, il part un an en Biélorussie en partenariat avec l’école Demain

Le Printemps et l’Académie des Arts de Minsk.

Il y apprend la méthode Stanislavski, pratique le combat scénique, le
chant, la danse, l’acrobatie, la biomécanique etc


De retour en France il s’installe à Toulouse et
intègre la formation «Vers un acteur pluriel» au
Théâtre du Ring.


En 2016, il intègre la Femme Canon Cie,compagnie de cirque/théâtre de rue avec laquelle il crée le spectacle «Suprême de dinde au coulis de biches», et co-organise le Freekabaret, cabaret hivernal à Paris.

En parallèle, il continue de se former en suivant les ateliers du Groupe Merci animés par George Campagnac.


En 2017 il intègre la compagnie Carnage Productions à Toulouse pour sa nouvelle creation, «Zerro killed».

Il intègre également la Cie Démanbrée
à Lyon pour jouer «Le songe d’une nuit d’été «
de W.Shakespeare

AGATHE découvre le milieu du spectacle en rejoignant l'équipe du Chapiteau Raj’ganawak (à Saint-Denis), avec laquelle elle organise des cabarets (cirque, théâtre, musique) auxquels elle participe.


A cette même période elle s’initie au conte en
suivant une formation avec Charles Piquion, au
conservatoire du 12e arrondissement de Paris.


Parallèlement, elle développe sa pratique musicale, et décide de partir à Marseille pour étudier au conservatoire. C’est là qu’elle forme
Johnny Marre,une fanfare punk.


Décidée à se professionnaliser dans la musique,
elle part à Toulouse suivre une formation professionnelle en 3 ans, dans une école de musiques actuelles (Music’Halle).

 

En parallèle, elle fait parti d’Ojala,un groupe de musiques d’Amérique Latine.


Elle travaille également avec l’association Itinérance Orale sur la nouvelle création Yseult
is not dead aux côtés de Sika Gblondoumé.

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